de plus de 120 mètres

système digital DDC

 

Notre optique est de reproduire notre région avec : le tunnel de Corphalie, la gare de Sclaigneaux, la sucrerie,

le complexe sidérurgique, le charbonnage, le dépôt vapeur et diesel et d'autres sites bien de chez nous.

Voyage sur le réseau

photos du réseau

Vite, vite, il va partir…..

 

J’entends déjà les portes se refermer……

 

Ouf, je suis dedans, voilà une belle place à la fenêtre.

 

En quittant la gare principale de « OUI », le petit caboteur de 16h07’ me fait découvrir le dépôt de marchandises et ses voies de débord.

Une loco de manœuvre SNCB recule deux wagons pour y êtes chargé de diverses marchandises.

Après avoir emprunter  un virage encaissé,  j'arrive le long du charbonnage, à droite, un complexe imposant de plus de 5 mètres de long reprenant l’extraction, le lavage, le tris, le stockage et le chargement du charbon dans de longes rames. Une locomotive privée manœuvre ses wagons sur 3 voies de chargement grâce à plusieurs tiroirs.

Une locomotive diesel de ligne attend qu’une rame soit composée pour l’acheminer à son client.

Je peux voir un chemin de fer à voies étroites (HOe) qui achemine directement le charbon au dépôt des locomotives qui se trouve plus en amont.

Sur ma gauche un complexe où se trouve le deuxième puits d’extraction.

Cinq voies et tiroirs permettent diverses manœuvres sur quatre mètres cinquante de long.

Même un tram  vient charger le charbon dans ses wagons.

Une voie (HOm) venant du dessous du réseau, via un tunnel, abouti dans le complexe et se retrouve dans des voies mixtes (HO + HOm) ce qui permet, également, de nombreuses manœuvres.

Sur ces voies, je peux apercevoir une chaudière verticale, une bi cabine à vapeur, plusieurs diesels et divers wagons et fourgons.

J'entame maintenant un très long virage sur un dévers prononcé (boucle de retournement) qui me permet de distinguer un dépôt de locomotives vapeur et diesel.

Une plaque tournante donne accès à six voies pour l’entretiens des locos (fosses, chargement du charbon, eau, sable, diesel, huile, etc..) 

Quatre autres voies mènent dans la remise.

Sablière, château d’eau, lampisterie, réserve d’huile, grues à eau, tas de briquettes, tank à mazout et parking à vélos décorent ce paysage qui sent bon la vapeur vive.

En surplomb, au-dessus de deux voies, la diesel d’usine (Hoe) décharge ses wagonnets venant du charbonnage voisin, grâce à une passerelle, dans les tenders demandeurs,  .

J'arrive à La Violette, arrêt crucial pour les   travailleurs du dépôt qui ne se déplacent pas en vélo.

Je repars et passe en dessous d’un village où je peux voir une rue composée de maisons identiques, habitations pour les ouvriers des environs qui ont un certain goût pour le jardinage.

Si on prend le sentier passant devant l’église, on arrive à une passerelle donnant accès à la petite gare de La Violette. (toutes ces constructions sont en carton)

Notre train ralenti et s’arrête, le feu est au rouge.

La diesel qui était en attente tout à l’heure, quitte le charbonnage avec vingt-quatre wagons bien chargés.

Double jaune, je repars vers la gare de OUI où nous faisons la correspondance avec le semi-direct stationné voie 4 et le tram devant la gare.

Un petit poste d’aiguillage se trouve sur notre gauche avant d’aborder une courbe encaissée, surplombée d'une très grosse villa, qui annonce l’arrivée de la gare. 

Voie 3, c’est quelques minutes d’arrêt me permettent de contempler le BV (complètement fait en carton) copie conforme du bâtiment voyageurs du Nord Belge.

Ca sent les frites !

J’en profiterais bien pour prendre un sachet à la friterie à côté de la gare, en plus, les quais sont bien fleuris et les bancs accueillants pour les déguster.

Hm, ça fait du bien !

Voici que passe un long train de marchandises tiré par une vapeur du type 25.

Je me dépêche car si je rate le train je ne saurais vous conter le reste du voyage et il est encore très long.

Je distingue un aiguillage devant la gare voie 1, on dirait une entrée/sortie de faisceau de parking ou/et de triages.

 Ah, nous démarrons.

Je referme la fenêtre car la vapeur rentre dans le compartiment.

Oh, la languette de cuir c’est cassée, plus moyen de fermer la fenêtre.

Je passe, maintenant, devant un poste d’aiguillage de la SNCB  du type Saxby et longe une clôture qui me permets d’apercevoir, sur la droite,  le chapelet de sept voies d’une longueur de cinq mètres cinquante dont deux desservent un dépôt de céréales.

Plus loin, sur la gauche, une desserte se séparant en deux voies, approvisionne une scierie. Un wagon de grumes, un de sciure et un de planches sont stationnés et attendent d’êtres manœuvrés.

Sur la droite, l’autre entrée/sortie du faisceau.

J'entame maintenant une courbe qui me laisse découvrir une petite gare pour trains courts.

Le train s'arrête, omnibus oblige. 

Le sifflet retentit, nous repartons et passons sur un complexe d’aiguillages nous donnent plusieurs possibilités : soit vers la gare de Sclaigneaux soit vers le complexe sidérurgique.

Bien jouer, le train roule vers le complexe.

Sur la gauche et sur deux niveaux : des usines, des usines, des usines, un nid d’usines

Tiens, elles ne sont pas en grève ?!?

Sur une longueur de huit mètres quatre-vingt, haut fourneau, aciérie, four à cokes, tôlerie, parc de chargements, etc..                

Quatre voies d’attentes et plusieurs voies au niveau des usines où je peux voir des locos diesel de manœuvres, avec leurs gros chiffres sur les portières, conduirent des wagons torpilles chargés de fonte en fusion, des wagons de ferrailles et de tôles dans tout le complexe.

Il s’y dégage une odeur très particulière.

Nous croisons une type 64 avec une longue rame des voitures multi-portes.

Sur la droite une autre voie où se trouve un train qui attend le feu vert, mais nous passons avant lui.

Notre train passe maintenant en dessous d'un tapis roulant recouvert de tôles car sur la droite se trouve un bâtiment de remplissage pour camions.

Une courbe virant à gauche dans un décors verdoyant  me laisse découvrir un pont métallique surplombant un petit ruisseau qui s’écoule tranquillement en contrebas.

Une deuxième courbe virant également à gauche me donne des « haut le cœur » car les dévers sont prévus pour les trains à grandes vitesses qui passent également sur cette ligne.

N’oublions pas que je viens de manger des frites.

Une grande ligne droite de cinq mètres cinquante se présente avec sur la gauche une sucrerie.

Quatre voies et plusieurs tiroirs donnent du travail au locotracteur qui manœuvre les divers wagons à la chaufferie, aux silos et au bâtiment principal.

La chaufferie est équipée d’une voie étroite pour son alimentation en charbon.

Nous tournons sur la gauche et entrons dans un tunnel.

Un aiguillage me laisse supposer un parking de plusieurs voies en dehors du réseau décoré.

Maintenant, l'omnibus entame un grand virage tournant à droite. Je m’approche de la fenêtre et je vois un raccordement vers une carrière et des voies de parking (boucle de retournement).

Aïe !!  j’ai des escarbilles dans les yeux, satanée fenêtre qui ne veux pas se refermer ! 

Je n’y vois plus rien et le train continue à avancer.

Avec le coin de mon mouchoir, peut être …

Nous passons sur un superbe viaduc qui nous amène en gare de Uccle-Calevoet (en construction)

Ca va mieux, je distingue au loin les aiguillages qui vont me permettre d’aller vers 

la gare de Sclaigneaux.

En effet, après un virage à gauche, nous voici à l’approche de la gare, le train ralentit et s’arrête.

Le bâtiment voyageur est du type Nord Belge et fait face à des rochers verdoyants.

Derrière ceux-ci, une importante carrière (non reproduite).

Celle-ci achemine sa marchandise à la gare via des wagonnets sur une voie de 60 cm (Hoe) et par camions sur un niveau supérieur aux voies de la SNCB.

Deux voies le long des roches son aménagées pour accueillir les wagons tombereaux.

Deux type 81 du dépôt de Statte manoeuvrent les tombereaux.

Le long du sentier des camions l’on peut distinguer la maison du garde barrière (en préparation).

Nous voici repartis.

Nous entrons dans la dernière boucle de retournement direction :  gare de OUI où ce train va recevoir deux voitures supplémentaires car nous arrivons à l’horaire des navetteurs.  

 

- Monsieur……… Monsieur………MONSIEUR !!

 

- Eh, oui ?

 

- Je suis le contrôleur, votre ticket s’il vous plait …..

 

- Mon ti……… je…… je vais vous expliquer…

  En fait, je fait un reportage et ….

 

- Je vois ! Vous n’avez pas de ticket !?!

  Et bien Monsieur Tintin, comme amende, il vous faudra   

  prendre une carte de soutien d’une valeur de 2,5 € en vente    

  au local du club.                                                                                     

 

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