Réseau 2 rails modulaire à l'échelle H0 (87ème) de plus de 120 mètres système digital DDC
Notre optique est de reproduire notre région avec : le tunnel de Corphalie, la gare de Sclaigneaux, la sucrerie, le complexe sidérurgique, le charbonnage, le dépôt vapeur et diesel et d'autres sites bien de chez nous. |
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Vite,
vite, il va partir….. J’entends
déjà les portes se refermer…… Ouf,
je suis dedans, voilà une belle place à la fenêtre. En
quittant la gare principale de « OUI », le petit caboteur de
16h07’ me fait découvrir le dépôt de marchandises et ses voies de
débord. Une
loco de manœuvre SNCB recule deux wagons pour y êtes chargé de
diverses marchandises. Après
avoir emprunter un
virage encaissé, j'arrive le long du charbonnage, à droite,
un complexe imposant de plus de 5 mètres de long reprenant
l’extraction, le lavage, le tris, le stockage et le chargement du
charbon dans de longes rames. Une locomotive privée manœuvre ses
wagons sur 3 voies de chargement grâce à plusieurs tiroirs. Une
locomotive diesel de ligne attend qu’une rame soit composée pour
l’acheminer à son client. Je
peux voir un chemin de fer à voies étroites (HOe) qui achemine
directement le charbon au dépôt des locomotives qui se trouve plus en
amont. Sur
ma gauche un complexe où se trouve le deuxième puits d’extraction.
Cinq
voies et tiroirs permettent diverses manœuvres sur quatre mètres
cinquante de long. Même
un tram vient charger le
charbon dans ses wagons. Une
voie (HOm) venant du dessous du réseau, via un tunnel, abouti dans le
complexe et se retrouve dans des voies mixtes (HO + HOm) ce qui permet,
également, de nombreuses manœuvres. Sur
ces voies, je peux apercevoir une chaudière
verticale, une bi
cabine à vapeur, plusieurs diesels et divers wagons et fourgons. J'entame
maintenant un très long virage sur un dévers prononcé (boucle de
retournement) qui me permet de distinguer un dépôt de
locomotives vapeur et diesel. Une
plaque tournante donne accès à six voies pour l’entretiens des locos
(fosses, chargement du charbon, eau, sable, diesel, huile, etc..)
Quatre
autres voies mènent dans la
remise. Sablière,
château d’eau, lampisterie, réserve d’huile, grues à eau, tas de
briquettes, tank à mazout et parking à vélos décorent ce paysage qui
sent bon la vapeur vive. En
surplomb, au-dessus de deux voies, la diesel d’usine (Hoe) décharge
ses wagonnets venant du charbonnage voisin, grâce à une passerelle,
dans les tenders demandeurs, . J'arrive
à La Violette, arrêt crucial pour les
travailleurs du dépôt qui ne se déplacent pas en vélo. Je
repars et
passe en dessous d’un village
où je peux voir
une rue composée de maisons
identiques, habitations pour les ouvriers
des environs qui ont un certain goût pour le
jardinage. Si
on prend le sentier passant devant l’église, on arrive à une
passerelle donnant accès à la petite gare de La Violette. (toutes ces
constructions sont en carton) Notre
train ralenti et s’arrête, le feu est au rouge. La
diesel qui était en attente tout à l’heure, quitte le charbonnage
avec vingt-quatre wagons bien chargés. Double
jaune, je repars vers la gare de OUI
où nous faisons la
correspondance avec le semi-direct stationné voie 4 et le tram devant la gare. Un
petit poste d’aiguillage se trouve sur notre gauche avant d’aborder
une courbe encaissée, surplombée d'une très grosse villa, qui annonce l’arrivée de la gare.
Voie 3, c’est quelques minutes d’arrêt
me permettent de
contempler le BV (complètement fait en carton) copie conforme du bâtiment
voyageurs du Nord Belge. Ca sent les frites ! J’en
profiterais bien pour prendre un sachet à la friterie à côté de la
gare, en plus, les quais sont bien fleuris et les bancs accueillants
pour les déguster. Hm,
ça fait du bien ! Voici
que passe un long train de marchandises tiré par une vapeur du type
25. Je
me dépêche car si je rate le train je ne saurais vous conter le reste
du voyage et il est encore très long. Je distingue
un aiguillage devant la gare voie
1, on dirait une entrée/sortie
de faisceau de parking ou/et de triages. Ah,
nous démarrons. Je
referme la fenêtre car la vapeur rentre dans le compartiment. Oh,
la languette de cuir c’est cassée, plus moyen de fermer la fenêtre. Je
passe, maintenant, devant
un poste d’aiguillage de la SNCB
du type Saxby et longe une clôture qui me permets
d’apercevoir, sur la droite, le
chapelet de sept voies d’une longueur de cinq mètres cinquante dont
deux desservent un dépôt de céréales. Plus
loin, sur la gauche, une desserte se séparant en deux voies,
approvisionne une scierie. Un wagon de grumes, un de sciure et un de
planches sont stationnés et attendent d’êtres manœuvrés. Sur
la droite, l’autre entrée/sortie du faisceau. J'entame maintenant une courbe qui
me laisse découvrir une petite
gare pour trains courts. Le
train s'arrête, omnibus oblige. Le
sifflet retentit, nous repartons et passons sur un complexe d’aiguillages nous
donnent plusieurs possibilités : soit vers la gare de Sclaigneaux
soit vers le complexe sidérurgique. Bien
jouer, le train roule vers le complexe. Sur
la gauche et sur deux niveaux : des usines, des usines, des usines,
un nid d’usines… Tiens,
elles ne sont pas en grève ?!? Sur
une longueur de huit mètres quatre-vingt, haut
fourneau, aciérie, four à cokes, tôlerie, parc de chargements, etc..
Quatre
voies d’attentes et plusieurs voies au niveau des usines où je peux
voir des locos diesel de manœuvres, avec leurs gros chiffres sur les
portières, conduirent des wagons
torpilles chargés de fonte en fusion,
des wagons de ferrailles et de tôles dans tout le complexe. Il
s’y dégage une odeur très particulière. Nous
croisons une type 64
avec une longue rame des voitures multi-portes. Sur
la droite une autre voie où se trouve un train qui attend le feu vert,
mais nous passons avant lui. Notre
train
passe maintenant en dessous d'un tapis roulant recouvert de tôles
car sur la droite se trouve un bâtiment de remplissage pour camions. Une
courbe virant à gauche dans un décors verdoyant me
laisse découvrir un pont métallique surplombant un petit ruisseau
qui s’écoule tranquillement en contrebas. Une
deuxième courbe virant également à gauche me donne des
« haut le cœur » car les dévers sont prévus pour les trains à
grandes vitesses qui passent également sur cette ligne. N’oublions
pas que je viens de manger des frites. Une
grande ligne droite de cinq mètres cinquante se présente avec sur la
gauche une sucrerie. Quatre
voies et plusieurs tiroirs donnent du travail au locotracteur qui manœuvre
les divers wagons à la chaufferie, aux silos et au bâtiment
principal. La
chaufferie est équipée d’une voie étroite pour son alimentation en
charbon. Nous
tournons sur la gauche et entrons dans un tunnel. Un
aiguillage me laisse supposer un parking de plusieurs voies en
dehors du réseau décoré. Maintenant,
l'omnibus entame un grand virage tournant à droite. Je m’approche de la
fenêtre et je vois un raccordement vers une carrière et des voies de
parking (boucle de retournement). Aïe !! j’ai des escarbilles dans les yeux, satanée fenêtre qui
ne veux pas se refermer ! Je
n’y vois plus rien et le train continue à avancer. Avec
le coin de mon mouchoir, peut être … Nous passons sur un superbe viaduc qui nous amène en gare de Uccle-Calevoet (en construction) Ca va mieux, je distingue au loin les aiguillages qui vont me permettre d’aller vers En
effet, après un virage à gauche, nous voici à l’approche de la
gare, le train ralentit et s’arrête. Le
bâtiment voyageur est du type Nord Belge et fait face à des rochers
verdoyants. Derrière
ceux-ci, une importante carrière (non reproduite). Celle-ci
achemine sa marchandise à la gare via des wagonnets sur une voie de 60
cm (Hoe) et par camions sur un niveau supérieur aux voies de la SNCB. Deux
voies le long des roches son aménagées pour accueillir les wagons
tombereaux. Deux
type 81 du dépôt de Statte manoeuvrent les tombereaux. Le
long du sentier des camions l’on peut distinguer la maison du garde
barrière (en préparation). Nous
voici repartis. Nous
entrons dans la dernière boucle de retournement direction : gare de
OUI où ce train va recevoir deux voitures supplémentaires car nous
arrivons à l’horaire des navetteurs. -
Monsieur……… Monsieur………MONSIEUR !! -
Eh, oui ? -
Je suis le contrôleur, votre ticket s’il vous plait ….. -
Mon ti……… je…… je vais vous expliquer…
En fait, je fait un reportage et …. -
Je vois ! Vous n’avez pas de ticket !?!
Et bien Monsieur Tintin, comme amende, il vous faudra
prendre une carte de soutien d’une valeur de 2,5 € en vente
au local du club.
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